24 décembre 2007
kilali
Kilali, enfin un Japonais qui nous emmène ailleurs. Entre salon de thé et galerie d’art contemporain, le lieu est à découvrir sous chuchotements. Les hôtesses nous acceuillent silencieusement comme un appel au calme pour des moments intimes. L’après midi, la carte regorge de thés verts aux multiples parfums qui accompagnent des pâtisseries traditionnelles. A l’heure du dîner la cuisine se révèle raffinée et élégante. Loin des yellow maki et des brochettes, on déguste oyako don, anguille grillée, riz aux algues, tofu et légumes croquants. Les lèvres finissent par se tremper dans du saké, à déguster chaud ou froid.
Kilali
3 rue des Quatre Vents
Paris 75006
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A